Mark L. Winston, Simon Fraser University
Jeudi 24 octobre 2002
Genetically modified (GM) crops are becoming increasingly important for pest control, but have spawned unusually charged disputes because of concerns about possible side effects on human and environmental health. Dr. Mark Winston has been studying the impact of these crops on beneficial organisms such as bees, which are essential to pollinate many Canadian fruit, berry, vegetable, and oilseed crops but could be particularly vulnerable because they feed on the nectar and pollen produced by bioengineered plants. He will describe how GM crops are constructed and implemented for pest management, summarize findings concerning their environmental impact, and discuss the likelihood that genes from GM plants will jump to conventional crops and natural vegetation due to bee pollination. Dr. Winston also will explore how we can incorporate science-based risk assessments into developing regulatory policies that appropriately balance environmental protection and pest management. Mark L. Winston is Professor in the Department of Biological Sciences, Simon Fraser University and a Fellow in the Morris J. Wosk Centre for Dialogue. He is the author of Travels in the Genetically Modified Zone, published in June by Harvard University Press.
Mark L. Winston, Simon Fraser University
Thursday, October 24, 2002
Alors que les cultures génétiquement modifiées prennent de plus en plus d’importance dans la lutte antiparasitaire, elles suscitent des débats particulièrement passionnés en raison des préoccupations concernant les éventuels effets secondaires sur la santé humaine et de l’environnement. Mark Winston étudie l’impact de ces cultures sur des organismes utiles comme les abeilles, qui jouent un rôle essentiel dans la pollinisation de nombreuses cultures de fruits, de baies, de légumes et d’oléagineux au Canada, mais qui pourraient être très vulnérables du fait qu’elles se nourrissent du nectar et du pollen produits par les plantes transgéniques. Il décrira comment les cultures transgéniques sont créées et réalisées en vue de la lutte antiparasitaire, résumera les conclusions concernant leur impact environnemental et discutera des risques que les gènes des plantes transgéniques contaminent des cultures conventionnelles et la végétation naturelle en raison de la pollinisation par les abeilles. M. Winston examinera également comment tenir compte des évaluations du risque fondées sur des données scientifiques dans l’élaboration d’une politique de réglementation prenant en compte à la fois la protection de l’environnement et la lutte antiparasitaire. Mark L. Winston est professeur au département des sciences biologiques de l’Université Simon Fraser et membre du Morris J. Wosk Centre for Dialogue. Il est l’auteur de l’ouvrage Travels in the Genetically Modified Zone, publié en juin par Harvard University Press.