*Dr Cullen was aboard the Canadian Coast Guard ship Amundsen when it was photographed to be on the $50 bill. Sadly Dr Cullen’s research equipment did not make the final edit! || Le Dr Cullen était à bord du navire de la Garde côtière canadienne Amundsen lorsqu’il a été photographié comme étant sur le billet de 50 $. Malheureusement, l’équipement de recherche du Dr Cullen n’a pas fait le montage final!
John Cullen, Dalhousie University
Thursday September 25, 2014
Year after year, about a quarter of the carbon dioxide emitted from human activities ends up in the oceans. When this gas dissolves in sea water, the oceans become more acidic, fundamentally changing their chemistry and compromising the skeletons of corals, shellfish and many other forms of marine life. While science has made progress in predicting the direct effects of this acidification, we are still far from being able to predict the full impacts on ecosystems. Reversing the acidification also poses a great challenge. Solutions to global warming that do not reduce atmospheric carbon dioxide will not solve the acidification problem.
Dr. John Cullen is a Professor of Oceanography (Emeritus) at Dalhousie University, formerly serving as Killam Chair in Ocean Studies, Killam Professor, and Industrial Research Chair in Environmental Observation Technology. His research specialities are marine microalgae, ocean monitoring systems, and the use of microalgae for fuels and protein. A pioneer in the development of ocean observation technologies, Cullen was selected as an inaugural Fellow of The Oceanography Society and a Fellow of the Royal Society of Canada and, along with Dr. S.W. Chisholm of MIT, was recognized by the international Association for the Sciences of Limnology and Oceanography with the Ruth Patrick Award for his contribution of basic science to the controversy over ocean fertilization for geo-engineering.
John Cullen, Dalhousie University
Jeudi, le 25 septembre 2014
D’année en année, environ un quart du dioxyde de carbone produit par les activités humaines se retrouve dans les océans. Quand ce gaz se dissout dans l’eau de mer, les océans deviennent plus acides, ce qui transforme fondamentalement leur chimie et compromet le squelette des coraux, des mollusques et de nombreuses autres formes de vie marine. Les scientifiques réussissent mieux à prédire les effets directs de cette acidification, mais ils sont loin d’être capables d’en prédire toutes les retombées sur les écosystèmes. En outre, renverser l’acidification des océans représente tout un défi. Les solutions pour contrer le réchauffement planétaire qui ne réduisent pas les concentrations atmosphériques de dioxyde de carbone ne régleront pas le problème de l’acidification.
John Cullen est professeur émérite d’océanographie à la Dalhousie University. Il a été titulaire de la chaire de recherche Killam en études océaniques, professeur récipiendaire du prix Killam et titulaire de la Chaire de recherche industrielle du CRSNG en technologie d’observation de l’environnement. Ses spécialités en recherche sont les microalgues marines, les systèmes de surveillance des océans et l’utilisation des microalgues pour la fabrication de carburants et de protéines. Pionnier de l’élaboration de technologies d’observation des océans, il a été choisi comme premier membre de l’Oceanography Society et membre de la Société royale du Canada. L’Association for the Sciences of Limnology and Oceanography a remis à M. Cullen et à S.W. Chisholm de la MIT le prix Ruth Patrick pour leur contribution à la recherche fondamentale sur la controverse à propos de la fertilisation des océans dans le cadre de la géo-ingénierie.